La Parisienne 2015 – Compte-rendu

La Parisienne

Ce dimanche, j’ai couru, pour la première fois, La Parisienne.
La Parisienne, c’est une course de 6,7km réservée aux femmes ; alors non, je ne fais pas que des courses pour filles, c’est une coïncidence. Ce n’est pas une énorme distance, mais c’est une très grosse course : 40 000 participantes. Oui, c’est beaucoup. Surtout : c’est pour la bonne cause : la lutte contre le cancer du sein. Alors on y va pour le sport, mais aussi pour l’engagement dans la lutte. Il faut juste rappeler, et je pense que c’est important, que l’objectif premier de cette course n’est pas la lutte contre le cancer du sein (pour ça, il y a la course Odysséa !!). La Parisienne reverse juste une partie des fonds à la Fondation, mais n’est pas la course officielle de la lutte. L’objectif était tout simplement une course pour mettre un premier pied à l’étrier (mais si quelqu’un sait pourquoi 6,7km, je suis preneuse)..

Pour cette première fois, j’ai couru sous les couleurs de la marque Eat Natural. Il s’agit d’une marque de barre de céréales, d’origine anglaise, avec un packaging plutôt sympa mais surtout des ingrédients de qualité, qui ont du goût. Je ne consomme pas beaucoup de barre de céréales mais il m’arrive d’en manger, notamment lorsque je sens que j’ai un coup de mou lors d’une sortie longue, et c’est vers celles-ci que je me tourne. Nous étions une petite poignée de filles à courir avec la marque. Je ne connaissais que Mathilde, déjà croisée à de nombreuses reprises, mais le reste de l’équipe était très sympathique également :-)

COxU9whWIAAexdMOn ferait presque égérie de marque… Presque.

Nous avions rendez-vous à 8h le jour J. Le temps est gris, un peu frais. Ils annoncent de la pluie à partir de 10h. Le coupe-vent et la casquette sont donc de mise. Just-in-case mais on verra que ça s’avérera très utile !! On se retrouve donc toutes au stand de la marque, pour un petit-déjeuner (avec des barres de céréaaaales) et pour se changer, papoter, échanger…

Je vais donc vous raconter mon expérience de course comme lors de mon première compte-rendu de We Run Paris 2015, en immersion, façon “minute à minute” même si ce ne sera pas aussi détaillé.

11999050_885475691539724_3538451954075852725_n

9h25 – On se dirige vers la ligne de départ. Petite séance de photos et tout le toutim comme il se doit. (Oui, entre 8h et 9h25 on a un peu papillonné…)
10h – On est en place dans la queue.
Je ne vais pas vous faire un minute à minute de ce moment là mais… on a passé 1h15 dans le sas. 1H15 C’EST LONG. Très long. Je sais qu’il ne s’agit pas d’une course officielle, que le but de cette course n’est pas la performance mais “le plaisir”, mais croyez-moi, même les plus détentes des détendues finissent par s’énerver quand elles restent debout pendant 1h15, à patasser, à être pressuriser par celles de derrière qui pensent que ça ira plus vite, à celles du côté qui poussent un peu, qui te crient dans les oreilles, etc.. 1h15, c’est long, et démoralisant à la fois. 1h15 c’est dur, surtout quand il pleut. Je n’ai pas à me plaindre, j’avais la panoplie anti-pluie mais je pense qu’il y en a plus d’une qui a du choper froid à ce moment là. 1h15 c’est long surtout quand tu sais que derrière tu vas courir environ 40 minutes, et que là, maintenant, tout de suite, tu as envie de faire pipi. Et ça, ça va un peu être mon fil conducteur…

11h – J’en ai marre. Je veux rentrer chez moi. Il pleut. J’avais des tonnes de trucs à faire. Nous sommes serrées, je commence à avoir mal aux jambes. Bref, pas forcément des conditions de motivation démentielles. Le plaisir, Tiphaine, le plaisir.

11h15 – On approche de la fin du sas. Délivrance. On a l’échauffement (qui consiste surtout à éviter de foutre un pain à ta voisine de devant ou du côté… Non, vraiment, 40 000 nanas avec cette organisation, c’est trop.). Le plaisir, Tiphaine, le plaisir.

11h22 – Et. C’est. Partiiiiii !

11h23 – OK, la course commence par une fausse pente. Le truc qui te tire déjà un peu derrière le genou dès le début. Mais au moins, ça chauffe bien. Et c’est parti pour une séance de petit slalom tranquille. La majorité des participantes court, c’est déjà ça. Je slalome, un peu à droite, un peu à gauche, éviter la flaque d’eau. On commence un peu doucement.

11h26 – Descente. Et c’est parti pour le déroulé du genou, histoire de prendre de la vitesse, histoire de prendre de l’élan. On se laisse tranquillement guider par la pente. J’ai envie de faire pipi, je sens ma vessie faire blopblop. Ce n’est pas très agréable.

11h28 – Palais de Tokyo. C’est sympa de visiter Paris. Sous la pluie. Devant le Palais de Tokyo, il y a un stand Variance, avec des nanas qui hurlent pour nous motiver. Elles portent un T-Shirt rouge avec un imprimé soutien-gorge. Cette vision va m’occuper l’esprit pendant au moins… les 5 minutes suivantes. C’était un peu bizarre comme imprimé.

11h32 – Cela fait 10 minutes que je cours et je me demande pourquoi je suis là. Il pleut. J’ai des fourmis dans les jambes et j’ai l’impression d’avoir une citerne d’eau dans le bas du ventre. Qui bouge. Je n’arrive pas à passer mon esprit en mode “automatique”, à faire évader mes pensées. Il y a sans cesse quelque-chose qui me tire de mes rêveries comme…

11h35 – … cette fille qui s’arrête net juste devant moi. Je manque de me l’emplafonner, m’obligeant à faire un freinage d’urgence sur bande blanche glissante. Je vous raconte pas la frayeur. Je remercie mes genoux et mes chevilles d’être restés à leur place. Je marmonne. Le plaisir, Tiphaine, le plaisir. Pense au plaisir (de retrouver les toilettes à la fin de la course).

11h36 – Je viens de capter qu’en fait, on vient de rattraper les filles du sas d’avant. OK. Séance de slalom.

11h38 – J’essaye de trouver quelque chose pour m’occuper l’esprit, pour me caler un peu, pour m’évader et activer le mode “Je prends du plaisir en courant”… J’ai envie de faire pipi, cette pensée me ramène à la réalité toutes les 3 minutes.

11h40 – Je ne sais pas où j’en suis. Mon appli ne me parle pas… Je ne vois pas de panneau avec la distance. Je sens juste que la foule autour de moi se densifie. J’essaye de me caler sur les côtés, car normalement il y a des boulevards disponibles pour garder son rythme… Sauf quand une nana marche, et croise une semi-coureuse.

11h43 – J’essaye de garder mon calme pour éviter d’arrêter la course. J’essaye de me rappeler que je suis ici pour le plaisir et non pas pour la performance. Le truc c’est que… la performance, c’est mon plaisir. J’ai envie d’être fière de moi.

11h44 – OK, je suis crevée. Je sens que mes jambes sont d’une lourdeur, je n’ai jamais vu ça. J’ai du souffle. Sur l’échelle de l’écrevisse, j’ai un rouge n°3, je pense. Bref, je suis tranquilou, sauf que mes jambes en ont décidé autrement. Et vas-y que le genou tire, et vas-y que ça tire à l’intérieur. Et vas-y que tu n’as même pas la force de monter le genou.

150913_095259_650

11h46 – Ravitaillement. MAIS T’ES SÉRIEUSE A BALANCER TON VERRE D’EAU SOUS MES PIEDS LA. * tu cours pour le plaisir. Tu cours pour le plaisir. Tu cours pour le plaisir. * Bon, j’ai quand même glissé sur son verre d’eau : pavé + pluie + gobelet en carton = ça glisse. Mais visiblement, la logique des gens qui boivent est “je jette mon verre d’eau par terre quand je l’ai fini, il y aura bien quelqu’un qui va le ramasser”. Les grosses bennes avec des cibles ne sont visiblement pas assez grosses. Génial. Dois-je préciser qu’il y avait également des bananes et que les peaux de banane par terre ben… non rien, après on va penser que je fais du mauvais esprit.

11h48 – Mon esprit commence ENFIN à divaguer. C’est pas trop tôt. J’ai envie que cette course finisse car je rêve de vider ma vessie. Je réfléchi à tous les costumes que j’aurai pu mettre pour cette course.

11h50 – Il est long ce parcours, non ? Il repleut de plus belle. J’ai oublié de regarder le parcours, donc incapable de savoir où j’en suis, ma notion du temps m’indique vaguement que ça doit être bon. Ma vessie n’est visiblement plus vivante…

11h55 – Attaque de marcheuse. Je n’ai rien contre les marcheuses, j’ai été marcheuse à mes heures perdues lors de ma précédente course. Je ne comprends juste pas vraiment le principe de marcher à 8 de front. Et à pester quand on demande gentillement de se décaler.

150913_105516_650

11h58 – OK donc vu qu’on vient de tourner à gauche, normalement, on en a plus pour très longtemps. Tant mieux, je commence à ne plus du tout prendre plaisir. Mon esprit n’a toujours pas décidé de divaguer vraiment, je me demande s’il va y avoir beaucoup de monde aux toilettes. Je ne sais plus si je suis mouillée dehors ou dedans. Et tiens, j’ai l’impression de m’être fait pipi dessus. Est-ce la pluie ? La transpiration ? Ou est-ce que c’est vraiment ça…

12h01 – Voyons le côté positif, cette divagation d’esprit m’a occupé pendant quelques minutes.

12h05 – Je vois le panneau 6 km. Il y avait donc des panneaux qui montraient les kilomètres ? Mais où ?

12h06 – Dernier virage. Je fuse. Je fais la dernière ligne droite que je n’ai pas pu faire à la Nike Woman, j’étends tous mes muscles, j’oublie ma vessie, je souffle, je slalom.. J’ai un sentiment nouveau de légèreté, j’oublie le monde qui crie sur les bords…

12h08 – Ligne d’arrivée. Je l’ai fait. J’ai le sentiment d’avoir fusé. Mon appli a bien merdé. Je mets quelques minutes à la ramener à la vie, n’étant plus très sure de mon temps… Ma vessie me rappelle que la libération n’est pas toute à fait là !

Temps

Je suis contente et mécontente en même temps. Ce sentiment mitigé est plutôt désagréable. Je suis contente car j’ai couru avec une équipe très sympa, avec des gens très agréables, j’ai fait des connaissances, échanger, profiter… Contente aussi car j’ai donné beaucoup, plus que d’habitude, j’ai battu mes records sur l’appli sur 1 miles et 5 km… Et que 38 minutes, ça fait du 10,5 km/h et c’est plutôt cool !

Mais mécontente car, je dois l’avouer, j’espérais avoir progressé plus que ça. C’est mon côté éternelle insatisfaite et trop pressée. Je crois que ça viendra !! Et surtout, mécontente de l’organisation. Qu’il n’y ait pas de sas. Je sais que c’est compliqué d’estimer son temps, mais cela sera bien plus pratique pour gérer 40 000 nanas sur un même parcours. Mécontente de l’organisation à la fin, où rien n’est indiqué, du moins pas clairement. Alors voilà, mon expérience de plaisir est mitigée.

Boue après La ParisienneOuh la gadou la gadou… Et photo flou à bout de bras

Je crois que si je devais refaire cette course, il faudrait que je ne la fasse pas dans cet état d’esprit, mais plutôt dans un esprit de partage, d’équipe, de cohésion, de soutien. La performance est difficile sur un parcours chargé de gens, voire dangereuse lorsqu’il pleut et que le sol est glissant, qu’il y a des flaques d’eau à éviter… Alors si je devais la refaire, ça serait vraiment à un rythme plus tranquille…

image

Comme je vous le disais, pendant cette course, j’ai couru sous les couleurs de Eat Natural. J’avais gagné ma place sur leur page Facebook… et à mon tour de vous faire gagner des choses ! Je ne sais pas si vous connaissez la marque, mais… je vous propose de gagner des barres de céréales ! A celles qui ne connaissent pas, vous pourrez donc les découvrir, et aux autres… vous pourrez donc les ré-apprécier !! ;)

Pour participer, c’est très simple : il vous suffit de commenter cet article en me disant
ce que vous inspire ces barres de céréales ? 

Vous avez jusqu’au 25 septembre. Je tirerai au sort un commentaire parmi les réponses. 1 participation par personne n’est autorisé…
Et pour plus de chances, 1 second lot va être mis en jeu sur mon Instagram… Stay Tuned !!

[CONCOURS TERMINÉ]

Bravo à la gagnante Irresistibird !

Tirage-sort-EatNatural

24 réflexions au sujet de “La Parisienne 2015 – Compte-rendu”

  1. merci pour ton récit détaillé …. en effet 40 000 coureuses …. ça me fait peur, c’est énorme ! (mais bon c’est Paris) … C’est bien que tu n’aies pas laissé tomber … les barres de céréales Eat Natual m’inspirent … un snack sain et rapide ! comme toi je ne suis pas habituée à en consommer car j’ai peur que ça cache pas mal de sucres … le packaging est sympa aussi ! merci pour le concours :-)

    Répondre
  2. Et bien déjà bravo !!!!!!!!!!!!! Une moyenne de 10.5km/h, c’est juste wahou !! Allez, re-bravo !
    Ce que m’inspire les barres céréales à gagner… j’en croquerais bien une maintenant parce que je commence à avoir faim, tiens ! Et elles seraient aussi parfaites pour mes petit-dej sur le pouce ou après ma séance de sport (j’ai abandonné l’idée de courir parce que ça me déclenche des migraines :-/ alors je fais du renforcement muscu, du vélo elliptique, du cardio boxe… au moins : merci la migraine, c’est super varié ce que je fais !) quand mon ventre commence à gargouiller !
    Belle journée !

    Répondre
  3. bonjour merci je tente volontiers je crois eles doigts
    ces barres de cerelaes me tente bien , l’emballage et le gout ca doit etre bon!
    bonne journée

    Répondre
  4. Très sympa ce compte rendu qui m’a en fait donné envie de faire pipi ! LOL
    J’ai aussi couru La Parisienne mais je suis partie dans le tout premier SAS donc ton expérience confirme ce que je pensais sur celles qui sont parties près de 2h après les premiers départs. De mon côté, j’ai eu l’impression de faire la course toute seule. Le premier SAS était vraiment tout petit donc aucun slalom et en plus de ça on n’a pas eu la pluie comme vous… Je pense que si j’avais été à ta place, je serais rentrée chez moi avant même le départ de la course donc chapeau bas et Bravo pour ta performance !
    Je viens de manger une barre EAT NATURAL (celle qui était dans le sac de La Parisienne ^^) et c’était vraiment très bon ! Pour moi ce sont des barres saines et adaptées aux besoins des sportifs. J’aime bien en consommer avant ou après une séance de sport quand je n’ai pas vraiment le temps de prendre un vrai repas.

    Répondre
    • J’ai presque envie de te dire que je te déteste un peu :P Mais cela confirme ce que je pensais : les conditions de course sont essentielles pour te faire apprécier, ou non, la course ! Et là.. ce n’était pas forcément les conditions optimales pour moi ^^

      Répondre
  5. Quelle organisation en effet… ça ne me rassure pas tellement parce que je me suis inscrite à une course similaire mi-octobre, pour le cancer du sein (bon, je ne pense pas que 40 000 personnes participent mais ça sera ma toute première course – où beaucoup de monde risque de marcher en plus de cela – donc ça m’effraie). Je suis une grande débutante mais ce petite challenge (5 km) me tentait bien. Seulement plus je lis de récits de courses mal organisées, moins je me sens capable de le faire :D.

    Je tente ma chance pour ce concours :) parce que j’aime aller courir “à jeun” avec seulement une barre de céréales dans le ventre justement. Si je mange plus ou moins que ça, je ne me sens pas bien pour courir. C’est donc le partenaire idéal pour aller m’entraîner et si en plus celles-ci sont naturelles, je dis banco.
    Merci pour le concours !

    Répondre
    • Hello ! Je n’ai jamais couru l’Odyssea (si c’est à celle-ci que tu t’es inscrite) mais je vais te rassurer : est-ce que tu as du inscrire un temps ?

      Répondre
      • Non c’est une course à Bordeaux, le Challenge du Ruban Rose. Pas de temps à indiquer donc pas tellement de stress à ce niveau (je cours encore beaucoup trop lentement pour tenter une course chronométrée) mais le reste, l’organisation, le parcours, le monde, me font tout de même peur.

        Répondre
        • D’accord :) je crois que c’est en même temps qu’Odyssea à Paris.
          Je te demandais pour ton temps car si tu indiques ton temps, ça signifie qu’il y a un système de sas… là visiblement il n’y en a pas ;-)

          Répondre
  6. Tout d’abord félicitations pour les résultats de ta course! 10,5km/h c’est super :-)
    Moi, tes barres de céréales me rappellent ce que je prenais le matin, après mon entrainement de patin le dimanche matin à 8h (et oui, ça piquait^^). En tout cas elles ont l’air bien bonnes :-D

    Répondre
  7. Bonjour!
    Bravo pour cet exploit personnel!
    Moi tes barres me font penser à celles que je prend lors des entraînements de handball!
    Merci et croisons les doigts!

    Répondre
  8. Je tente moi aussi, une gourmandise saine dans un corps sain
    Et bravo pour ta course, je serai rester moins zen avec les gobelets !

    Répondre
  9. Comme toujours j’ai adoré ton récit qui me rappelle mes pensées pendant les courses …
    Pour les barres de céréales je ne les connais pas mais le nom donne confiance et donne envie d’y gouter après une sortie longue de 2h quand tu avalerais tout ce qui te tombe sous la main.
    Bonne journée

    Répondre
  10. Je voulais faire cette course l’an prochain mais… Je ne sais plus la. Je ne suis pas si expérimentée que toi en plus et je ne sais pas si j’aurais une équipe ! C’est la petite distance et la cause qui m’attirent vers cette course.
    Merci pour le concours en tout cas ! Pour moi ces barres sont une source d’énergie saine qui ne gâche pas l’activité physique qu’on y associe :)

    Répondre
    • C’est aussi mon niveau qui crée les frustrations ;-) si la cause t’intéresse, je te conseille plutôt l’Odyssea où il y a un parcours de 5 km :-)

      Répondre
  11. Bonjour,
    Félicitations pour cette course. Je me mets un peu à la course et moi qui ne suis pas fan de compétitions, je me prends à surveiller mon chrono, à essayer de gagner quelques secondes à chaque sortie…
    Les barres de céréales me rappellent celles que je prenais au goûter le matin au collège car je ne petit-déjeunais pas le matin. Moi qui prends aujourd’hui une demie heure le matin pour manger des flocons d’avoine, du yaourt, des fruits, un morceau de gâteau maison… un vrai festin !
    Merci pour le concours.

    Répondre
  12. Bon d’habitude je suis une lectrice silencieuse mais je me lance : bravo pour la course ! Ta description ne fait pas vraiment rêver et on est vraiment loin du “plaisir” mais tu as la satisfaction de l’avoir fait !
    De mon côté j’aime beaucoup les barres eat natural avec une préférence très marquée pour les orange aux amandes et yaourt, elles sont vraiment délicieuses et moi qui essaye de privilégier des aliments moins transformés, j’adhère totalement à leur démarche. C’est idéal quand on a pas le temps de cuisiner ! Mais si tu as l’occasion, j’adorerais avoir une recette de barre céréale du même style (huuuum ce glaçage yaourt !).

    Répondre
  13. Super ce compte-rendu, moins l’attente et la pluie.. Je suis partie à la seconde vague et c’était long, il est vrai que des SAS serait mieux, et c’est tout à fait possible même avec le monde.
    En tout cas c’était quand même une bonne expérience :)

    Allez, demain c’est la Noctambule hihi :p

    Répondre
  14. Bonjour, bravo pour cette course, ça ne devait pas être facile
    je tente ma chance au concours (mais est-ce que le concours est ouvert à la Belgique?) car ces barres ont l’air saines et nourrissantes
    Bon dimanche

    Répondre
  15. Bravo pour La parisienne! J’ai réalisé encore plus la chance d’être partie du sas “élite” l’an passé! ;-) et grâce à ton post sur le semi de Paris, eh ba… Je me suis inscrite aussi le soir même! :-D
    Ce serait avec plaisir de goûter ces nouvelles barres de céréales pour mes entraînements au semi!
    Bonne semaine :-)

    Répondre
  16. c’était magique cette course !
    Je participe volontiers à ton concours.
    Je suis fan de ces barres et malheureusement je n’en trouve pas
    Pour moi les barres Eatnatural sont synonymes du bien démarrer la journée en faisant le plein d’énergie sans aucune cochonnerie.
    Merci pour ce concours

    Répondre
  17. Franchement, BRAVO parce que vu le récit … Et bien ça ne me donne pas vraiment envie, je crois que j’aurai pété un câble et arrêté à peine partie …

    Répondre

Répondre à Gourmandiseuse Annuler la réponse