Réduire le sucre : Quelques lectures

Il y a quelques temps, je vous parlais de ma résolution de réduire les glucides. Cette prise de conscience s’est faite à la lecture d’un premier livre et s’est confirmé au fil d’autres lectures. Aujourd’hui, je vais vous parler des 3 livres que j’ai lu, dédiés spécifiquement au sujet du sucre. Avant toute chose, il s’agit de mon propre avis et il se peut que le vôtre soit différent. Dans ce cas, échangeons nos points de vue ! Je n’ai pas vocation à vous convaincre que mon avis est le seul valable, mais je dois avouer qu’à la fin de mes lectures, et après avoir expérimenté par moi-même, il y a quelques avantages à limiter le sucre et autres glucides de son alimentation.

Réduction du sucre dans l'alimentation

Réduire sa consommation de sucre : Quelques livres à lire

Voici quelques livres que je vous conseille pour vous aider dans votre démarche de réduction du sucre.

  • No sucre – Nicole MOWBRAY – Édition “Le livre de Poche”
  • Zéro sucre – Danièle GERKENS – Édition “Les arènes”
  • C’est décidé, j’arrête le sucre – Sarah WILSON – Édition “Larousse”

Livres sur la réduction de sucre dans l'alimentation

 

No sucre – Nicole MOWBRAY – Édition “Le livre de Poche”

C’est le premier livre que j’ai lu, celui qui a déclenché cette prise de conscience chez moi. Je vous parlerai dans un prochain article de ma façon de manger et ce qui a changé aujourd’hui, parce que sinon cet article serait beaucoup trop grand, mais voici le passage, un peu long, qui m’a fait prendre conscience de ce que je faisais vraiment :

“Au réveil, je n’avais qu’une envie : dévorer un paquet de biscuits au chocolat. Ces fringales de sucré ne me quittaient pas de la journée, et si je n’avais pas ma petite douceur en récompense de mes souffrances, j’étais d’humeur massacrante. Comment en étais-je arrivée la ?
[…] Ce matin là, je fis donc ce que je faisais toujours dans ce genre de situation : je m’accordais une récompense, puisque je venais de faire une activité saine (= aller au bureau à vélo ce qui est explique quelque lignes plus haut dans le livre). Dans mon esprit, le fait d’avoir pédalé une bonne demie-heure méritait salaire. Cela étant, je n’allais jamais chercher très loin un bon prétexte pour me faire plaisir. Comme tous les matins, ou presque, je me dirigeai donc vers la chaîne de café-boulangerie belge qui avait eu la bonne idée d’ouvrir une franchise juste en face de mon bureau et qui faisait un succulent parfait au granola bio. Vous ne connaissez pas le parfait au granola ? Grave lacune !.. Voici à quoi cela ressemble : un gobelet en plastique transparent rempli d’un tiers de yaourt maigre, un tiers de salade de fruits et un tiers de granola (un mélange croustillant de flocons d’avoine, de graines et de fruits secs, liés au miel et au sirop d’agave et dorés au grill).
Pour accompagner le tout, je prenais généralement un grand verre de jus d’orange frais. Je me régalais, convaincue de donner à mon corps et mon esprit une énergie aussi saine que savoureuse. Et du même coup, je consommais déjà au moins deux des cinq fruits et légumes par jour recommandés.
La question du petit déjeuner étant réglée, tout en continuant à pédaler, je m’inquiétais de ce que je pourrais manger à midi. Je me souvins que j’avais prévu de retrouver mon amie Olivia dans notre bar à sushi préféré. C’est un endroit que je fréquentais très régulièrement autant pour ses sushis que parce qu’il était à un quart d’heure de marche de mon bureau, et qu’à mon sens cette petite balade valait bien mieux que d’avaler un sandwich devant mon ordinateur.
Et pour le dîner ? Je rentrerais tard à la maison, car j’avais un rendez-vous de travail important dans un nouveau bar à la mode en fin d’après midi. Le temps de discuter autour d’un ou deux verres, je pourrais encore me faire une assiettée de pâtes ou un plat rapide avant d’aller me coucher. En approchant du bureau, j’étais rassurée de savoir mon parcours alimentaire de la journée parfaitement balisé. C’était déjà une bonne chose de faite.
Puis au moment de sortir mes 10 euros pour régler mon petit déjeuner (oui je sais c’est de l’escroquerie), l’évidence m’apparut : le gobelet que je tenais à la main était manifestement un concentré de sucres. Était-ce vraiment une bonne idée de commencer chacune de mes journées avec un parfait au granola ? Avec un jus d’orange, par dessus le marché.”

La suite du paragraphe, que je vais écourter car tour cela fait tout de même 2 pages du livre, détaille la prise de conscience de l’auteur sur ces repas. Il se finit par se paragraphe qui résume très bien l’ensemble :

“Et là, ça a fait tilt. Mon petit déjeuner était bourré de sucre. Sur le coup des 10h, j’enchaînais avec une banane (du sucre), ou une poignée de raisins secs (encore du sucre), ou d’autres fruits séchés (toujours du sucre) pour combler le petit creux de la matinée. Mon déjeuner, comme je le savais maintenant, était loin s’être diététique et je continuais l’après midi à grignoter mes en-cas toujours sucrés. Si je comprenais bien, je n’avalais pratiquement que du sucre de toute la journée, et très peu de protéines.”

Je crois que je ne me suis jamais autant reconnu dans une lecture. Je crois que c’est le déclic que j’attendais depuis quelques années, celui qui me manquait pour me mettre un coup de pied au derrière et voir les choses en face.

L’auteure est une no-sugar totale, chose que je ne souhaite pas devenir. Elle a choisi de supprimer totalement le sucre raffiné, ses dérivés et tous les sucres simples de son alimentation. C’est un point de vue extrême mais qui se défend et qui se comprends dans son livre.

Mon avis :
En restant objective et en essayant de passer outre le fait que ce soit le premier ouvrage que j’ai lu, j’ai apprécié le ton que l’auteur emploie. Elle nous immerge dans sa vie et traite de sujets qui nous concernent. On s’identifie facilement à elle, même si nous sommes différents. Elle traite des questions qui nous viennent instinctivement à l’esprit quand on parle de supprimer le sucre (“Mais comment vais-je survivre ?” “Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir manger si j’enlève tout ça ?” “Et ma vie sociale ?!”).
J’ai bien apprécié ce côté “proche”. Elle explique par ailleurs avec beaucoup de précision les réactions liées au sucre, l’impact scientifique, médical etc.. en s’appuyant sur des experts qui l’entourent. Cela est plaisant car on peut mieux appréhender les choses, les comprendre voir les interpréter à notre façon. Le livre contient quelques recettes, dont certaines semblent plutôt sympa !! Malgré son régime poussé à l’extrême, comme beaucoup d’anglo-saxonne qui basculent dans le ‘totaly no-sugar‘, ce livre est très complet sans faire l’apologie d’une alimentation zéro sucre, sans culpabiliser… Une lecture saine pour mieux comprendre le sucre et ses impacts.

NO sucre

Zéro sucre – Danièle GERKENS – Édition “Les arènes”

Le second livre que j’ai lu, un des plus médiatisés en France, d’une auteure française, journaliste pour Elle. Contrairement au précédent livre, celui ci raconte plus une expérience du sans sucre qu’un changement de vie. Même si l’auteure à joue le jeu jusqu’au bout, il s’agit tout de même d’une expérience avec une fin au bout : Essayer de vivre 1 an sans consommer du sucre, et voir les conséquences.

Mon avis :

J’ai également apprécié cette ouvrage pour sa grande objectivité sur les choses. L’auteure arrive a nous faire passer les messages en se détachant complètement de l’expérience. Les explications et détails scientifiques sont nombreux (et parfois longs) mais intéressants. Quelques longueurs tout de même lorsque cela rentre trop en profondeur, parfois trop de détails, des notions trop fouillées, mais qui peuvent être intéressantes si on aiment bien vraiment TOUT comprendre.
J’ai bien aimé la lecture assez fluide mais moins romancé, assez complémentaire du 1er ouvrage. Ici les solutions de remplacement du sucre sont différentes du premier ouvrage, ce qui rend la comparaison intéressante (même si le mot xylitol ne m’inspire pas du tout mais alors pas du tout confiance !! J’aurai l’impression de mettre du produit ménager dans mon yaourt). Petit bémol sur les recettes où il faut trier (un granité qui a l’air fort bon fréquente la recette des oeufs au plat… fallait il vraiment la remettre ??)

Zero Sucre

C’est décidé, j’arrête le sucre – Sarah WILSON – Édition “Larousse”

Dernier livre lu, beaucoup moins détaillé et plus avare d’explications scientifiques sur le pourquoi du comment on doit supprimer (ou, à fortiori limiter) le sucre. L’auteure a arrêter le sucre suite à des problèmes de santé. Elle nous raconte comment elle s’est “désintoxiquée” et nous donne ces conseils, sous forme de programme de 8 semaines pour “décrocher”. Le vocabulaire utilisé est très proche du vocabulaire de la drogue, et le reste tout au long du livre (alors que dans les 2 autres, la question de “l’addiction est traitée avec plus de distance”. Ce livre se présente en 2 parties : une partie “notice de cure” avec les différentes étapes à suivre pour se séparer du sucre, et une seconde partie livre de cuisine avec de belles photos et recettes détaillées.
Il faut néanmoins avoir envie de croiser toutes les photos de cette jolie brune à la peau bronzée et aux jambes interminables… Cela fait rêver à l’approche de l’été mais mieux vaut garder la tête sur les épaules !!

Mon avis :

Des 3 livres, c’est celui qui m’a mis le plus mal à l’aise.
Je trouve que le livre est trop basé sur son expérience et assez “dur”. Pour moi, il ne convient pas à tout le monde et pourrait même donner de mauvaises idées à certaines personnes perdues face au flot d’informations qui circule en ce moment sur le sucre. Il faut vraiment prendre de la hauteur sur ce qu’elle dit. Par exemple, l’auteure incrimine le fructose plutôt que le glucose, le taxant d’être à l’origine de la prise de poids, recommandant donc de supprimer la consommation de fruits pendant tout ou partie de la “cure de désintox”. Les propos devraient être un peu plus nuancés,  plus expliqués..
Néanmoins,  la lecture du livre est agréable, la maquette est très féminine et facile à lire façon “carnet intime”. Les recettes proposent quelques petites pépites, que je vais sûrement tester à l’occasion, même si les recettes de petit déjeuner me laissent encore perplexe.

 

J'arrête le sucreJ'arrêt le sucre

Ce que j’ai retenu de ces 3 livres et que j’applique aujourd’hui :

Le sucre blanc est l’ennemi ultime. Je ne l’ai pas banni de mon alimentation mais j’ai décidé de choisir quelques alternatives et de réserver son ingestion lors de la dégustation de vraies belles pâtisseries, de temps en temps, pour vraiment profiter.

Les produits lights et préparés sont bourrés de sucres cachés.

On ne devrait pas consommer autant de sucre que le recommande l’OMS aujourd’hui, qui pense à revoir sa recommandation à la baisse. 25g par jour suffisent amplement. 25g de sucre ça fait 5 morceaux classiques. Ça vous paraît beaucoup ? Il y a 25g de sucre dans cette bouteille de jus d’orange ! Je convertis régulièrement le grammage de sucre en morceaux (1 morceau = 5g / ou en cuillère 1 cuillère à soupe = 4g)

Rééquilibrer son bol alimentaire en limitant les glucides et en augmentant les fibres et les protéines, et cela dans l’optique de se caler, d’avoir une meilleure digestion et d’avoir tous les éléments nécessaires au fonctionnement du corps.

– Moins de fruits, mais surtout mieux les choisir et mieux les consommer. Je mange donc mes fruits en dehors des repas ou choisi des fruits pauvres en glucose et pauvres en fructose (fruits noirs type mûres,  cassis, myrtilles, bleuets…). Cela dans l’optique de réguler la glycémie et d’éviter les pics successifs au repas qui favorisent le stockage des graisses.

Remanger de bonnes graisses, et leur faire la part belle. Je n’ai plus peur de manger de l’avocat, du saumon, des amandes, de la crème épaisse, du lait entier ou du beurre cru. Supprimer le sucre permet de réduire l’ingestion de mauvaises graisses qui se trouvent dans les biscuits industriels par exemple (huile de palme, beurre transformé etc…), et laisse donc la place aux bonnes graisses !

– Moins de sucre = plus d’énergie = moins malade. La sensation de fatigue nous quitte petit à petit lorsque l’on supprime le sucre blanc. Quel bonheur de s’endormir à nouveau rapidement le soir et de se réveiller en forme !!

– No-sugar, pas pour moi. Low sugar, pourquoi pas. Limiter sa consommation de sucre, avoir conscience de la quantité que l’on mange et ne pas l’automatiser mais la réserver pour les vrais moments de plaisir !!

Et vous, avez vous déjà lu un de ses livres ?
Cela vous tente ?

13 réflexions au sujet de “Réduire le sucre : Quelques lectures”

  1. Ben moi ça me tente pas du tout ce genre d’expérience ou de bouquin. Comme tu dis, certains sont beaucoup trop extremes et veulent à tout prix tomber dans le 0. Selon moi, il y a une grosse marge entre s’empiffrer de gateaux industriels à longueur de journée et 0 sucres.

    Je mange du sucre (dans le yaourt, chocolat, gateaux maison, fruits, miel…) sans en abuser mais sans non plus tomber dans la parano du no sucre, je dors tres bien, m’endors sans probleme, ne suis ni en surpoids, ni obese et suis en forme.

    Ces bouquins malheureusement contribuent, selon moi, à la diabolisation de certains aliments, et donc pour certains à la frustration. Et apres gare à la cata le jour où tout ça lache! A mon avis, vaut mieux consommer un peu avec plaisir que 0 pendant quelques temps et se jeter sur 8 tablettes de chocolat à un moment.

    Je crois qu’on oublie un peu le plaisir de manger, le plaisir des aliments bons et simples avec tous ces no no no (no sucre, no gluten, no lactose, no je ne sais quoi). On va finir par sucer des cailloux pour se nourrir!

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    • Bonjour Karine,
      Je crois que cela va au delà de s’empiffrer. Le message que je veux faire passer à travers ces articles est que parfois on croit “bien faire” (en raison des discours qu’on nous a rabâcher) et que ce que l’on fait nous fait parfois plus de mal que de bien.
      Concernant la diabolisation, justement : le premier livre m’a plu pour la raison qu’elle précise qu’elle ne souhaite pas diaboliser le sucre. Accorder de la valeur à un aliment, dire qu’il est “bon” ou “mauvais” n’est pas la bonne solution. Personnellement, j’accordais trop de “valeur” au sucre avant : quand je n’étais pas bien, de mauvaise humeur, vexée, contrariée, il me fallait manger, et du sucré ! C’est donc donner une valeur à un aliment qu’il ne devrait pas avoir. Dans ce cas là, le besoin remplaçait le plaisir.
      Je partage l’avis de l’auteur : on ne va pas mourir si on mange du sucre, mais on peut décider qu’un aliment ne nous convient pas (tout comme un végétarien ne mange pas de produit animal etc..), et ça passe parfois par la suppression dans l’alimentation.
      Je ne veux pas faire l’apologie du “zéro sucre” parce qu’au final je ne crois pas en ça.

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      • Oui c’est un bon résumé :) Mais le soucis c’est que ce genre de bouquin quand il tombe dans les mains de gens qui ne sont pas critiques ou qui sont fragiles pour une raison x ou y peut donner des ravages!

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        • Oui, c’est exactement le sentiment que j’ai eu avec le dernier bouquin lu où concrètement, il faut avoir beaucoup de recul parce qu’il peut pousser aux comportements extrêmes… malheureusement !!

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  2. Il s’agit en faite d’une hygiène de vie, si je résume ton article. Finalement, on en revient à manger de tout mais avec parcimonie.

    Personellement, je me réserve deux “vrais” desserts par semaine (maximum trois), j’entends par là une pâtisserie, ou des biscuits. J’ai éliminé depuis des années tout ce qui est soda, jus de fruit, bien que je n’ai jamais été une grande consommatrice. Quand aux fruits, j’en mange régulièrement, je ne fais pas pour autant attention que toi sur leur taux de sucre. J’ai appris ces “règles” à l’âge de 16 ans, où j’étais en surpoids. Et depuis, je suis cette hygiène de vie, et cela me convient parfaitement. L’avantage de s’autoriser deux desserts par semaine, c’est que je ne suis pas frustrée, et que je prends plaisir à manger ces desserts. C’est mieux que de manger du sucré à longueur de temps, on finit par plus faire attention au goût (selon moi).

    Ces livres semblent intéressant, et je vais certainement lire les deux premiers pour m’informer. Par contre, bannir totalement le sucre, ça personnellement je ne peux pas (trop addicte du chocolat), et je trouve ça un peu extrême, comme certains régimes d’ailleurs qui sont finalement une sorte de mode…

    En tout cas, j’aime beaucoup tes nouveaux articles!

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    • Merci Lauriane ! C’est ça : Une bonne hygiène de vie, mais surtout prendre conscience de ce que cela signifie. Je ferai surement un article là-dessus : croire “bien faire” et se rendre compte qu’au final, ce n’est pas si “bien” que ça.

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  3. Bonjour et merci pour cet article. Je pense m’acheter le premier qui m’a l’air plus “distancié” et moins culpabilisant.
    J’en suis aussi là mais je compte garder les fruits, le miel, et la cassonade, voir le sucre roux complet pour mes pâtisseries. (il me semble que le sucre blanc raffiné est ce qu’il y a de pire pour notre organisme)
    Je jetterai peut être un œil au dernier livre aussi. Car les envies de sucre ressemble un peu à mes envies de cigarettes… Et il va bien falloir que je vive le low sucre plus sereinement :-)

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    • Attention au sucre utilisé. En essence le sucre qu’il soit de canne ou de betterave n’est pas conseillé. Plus il est raffiné moins il est bon, mais le sucre de canne roux reste un sucre de canne. Les 2 premiers ne sont pas culpabilisant mais le premier est plus “extrême” que l’autre car elle a continué dans une dynamique no sugar, excluant même pâtes, riz, etc..

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    • Oui merci :) Je l’ai justement signalé sur ma page fan ! J’ai hâte de le voir :) D’autant que j’ai acheté le livre de la journaliste qui a collaboré avec Philippe Conticini !

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  4. Ah ça me fait plaisir d’avoir tes avis lectures. Je pense donc opter pour le premier qui me semble plus agréable à lire et moins draconien et évidemment, m’adapter. Je continue de prendre mes petits déj’ salés tous les matins, je résiste (un peu trop) facilement aux croissants amenés par les collègues très régulièrement au bureau et je craque très rarement pour des biscuits à grignoter. Je suis déjà pas mal fière à ce stade, car quand on essaie, il y a beaucoup de tentations…(et les gens ne sont pas forcément nos alliées au contraire “ah bon?! tu manges plus de sucre ?! + yeux au ciel). Il me reste un effort à faire sur l’alcool (dur concession) et la facilité des pâtes/riz pour les repas “vite fait”. J’ai également réduit toutes mes quantités et je me sens vraiment mieux dans mon corps (oui je mangeais presque pour deux, ma passion était de remplir mon assiette si c’était bon). Plus jamais de mal de ventre en fin de repas ou de coup de fatigue. Ca fait un bien fou ! :)
    Merci pour ton partage en tout cas et vivement les prochains articles. A très vite !

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    • Je suis en train de lire un autre livre pas mal du tout, qui aide un peu mieux à structurer sa journée. Je vais tester pendant 1 mois et j’en parlerai (donc surement en août…)

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